Il fallait être bien décidée pour se rendre où elle est aujourd’hui. Certes, elle avait du talent. Et le soutien indéfectible de René Angélil n’a pas nui. Il reste que sa carrière et son succès, elle ne les doit qu’à elle-même. Elle a travaillé d’arrache-pied pour atteindre la maîtrise parfaite de sa voix, apprendre l’anglais et décrocher les contrats qui allaient paver son chemin vers la gloire (le privilège de chanter la chanson-thème de Beauty and the Beast, par exemple). Une telle détermination n’est pas donnée à tous. En témoignent aussi ses efforts acharnés pour être maman – elle a subi pas moins de cinq fécondations in vitro avant d’avoir ses jumeaux, Nelson et Eddy.