La mère de Robert Lalonde était un personnage incroyable, une grande tragédienne, un peu à la Joan Crawford. C’est du moins ce qui transparaît dans son récit, qui aborde le rapport mère-fils. J’ai moi aussi un fils, et j’avais besoin d’entendre un gars parler de sa mère. Robert a accompagné la sienne jusqu’à la fin. Savoureux.