C’est le pianiste et compositeur André Gagnon, devenu un ami, qui m’a fait connaître Henning Mankell (ainsi que Douglas Kennedy). Je suis tombée amoureuse de cet auteur et pourtant, je ne suis pas fan de polars. C’est dans ce roman qu’on fait connaissance avec l’inspecteur Kurt Wallander. Étrangement, je n’ai jamais voulu écouter la télésérie parce que je préférais inventer mon propre Wallander. Ce livre a développé chez moi le sens de l’observation, ce qui aide à la création.