J’avais neuf ans, soit à peu près l’âge du héros, quand j’ai lu ce roman de José Mauro de Vasconcelos. Un garçon se lie d’amitié avec un homme à qui il se confie et avec qui il partage un arbre. J’ai dû m’identifier à lui, car c’était la première fois que je pleurais en lisant. C’est une histoire extrêmement touchante et bien écrite. Ça me fait penser à La vie devant soi, de Romain Gary.