Je me suis reconnue dans ce livre de la comtesse de Ségur, par mon prénom. Et parce que Sophie n’était pas une enfant impeccable. Différente des fillettes modèles, elle faisait des gaffes, préparait du thé avec l’eau du chien. Ça me rassurait de constater que le monde n’était pas parfait. Ça se situait à une autre époque, mais je comprenais le texte, ce qu’on attendait des filles, soit la perfection et une espèce de sagesse. Ça m’impressionnait de voir que Sophie y dérogeait.
Elle avait un côté rebelle sans méchanceté. J’avais enfin une relation
avec un personnage attachant !