En 1949, George Orwell a imaginé un monde totalitaire où la violence, le contrôle et la propagande déterminent le quotidien de millions d’individus, asservis au pouvoir du fameux Big Brother, dont la surveillance constante empêche toute liberté. Toujours percutant, ce roman que j’ai lu beaucoup trop jeune, probablement pour impressionner mon grand frère, décrit un univers oppressant qui ressemble parfois étrangement à celui que nous avons construit, à coup de pubs pour crèmes rajeunissantes et de guerres « libératrices ».