• Plusieurs couches de vêtements, même en été : un coupe-vent et un pantalon imperméables, de bonnes chaussures de marche, une paire de bas chauds, un polar, des sous-vêtements longs. Mais surtout pas de parapluie. Il ne résisterait pas au vent, qui pousse parfois la pluie à l’horizontale (#faitvécu) ! L’adage Si tu n’aimes pas la température en Islande, attends quelques minutes est très juste.
• De quoi grignoter. Les cabanes à patates sont un concept inconnu en Islande. En cas de fringale, il faut attendre d’atteindre la prochaine ville digne de ce nom (qui est parfois à 200 km) ou une station d’essence, qui fait heureusement souvent office de resto sur le pouce. Barres tendres et noix apportées de la maison, bananes et skyr (fromage frais à la consistance de yogourt) achetés à l’épicerie locale sont des musts.
• Un appareil photo : à mon retour, une amie m’a demandé si un iPhone suffisait à capter l’Islande. Ma réponse : NON. Une pile et une carte mémoire supplémentaires sont fortement conseillées.
• Dans sa valise virtuelle, des signets à conserver : The Reykjavik Grapevine (grapevine.is), un journal et un site web gratuits sur le beat de la capitale ; I heart Reykjavik (iheartreykjavik.net), le blogue très utile d’une fille ordinaire devenue une guide touristique prisée ; The Icelandic Weather Report (facebook.com/icelandweatherreport), une page Facebook alimentée par Alda Sigmundsdóttir, une journaliste-traductrice-auteure-
blogueuse qui donne un point de vue local sur les politiques et l’humeur du pays.