Peter Philips, directeur international de la création maquillage pour la maison Chanel, a voulu rendre hommage au grand dada de Gabrielle Chanel : le bâton de rouge. Avec Rouge COCO, il signe un nouveau geste de beauté, qu’il qualifie de « prêt-à-porter du rouge à lèvres ». Rouge COCO est à la fois confortable, traitant et élégant. Et, en un seul passage, il colore, protège et met les lèvres en beauté. Pour réconcilier les amantes de brillant à lèvres avec le rouge classique, Peter Philips a aussi choisi de mettre au point des harmonies en demi-teinte, variations subtiles du rose, du rouge et du brun.
La formule comme l’écrin de Rouge COCO ont été soignés. Son emballage métallisé garde le rouge à lèvres froid, pour que chaque application procure l’agréable sensation de rafraîchir la moue. Son capot se referme d’un clic, simplement et sans difficulté. Son odeur féminine fleure bon la rose, la framboise et la vanille poudrée. Sa texture fondante ultra douce glisse sur la bouche, satinant et lissant les muqueuses, en les hydratant pendant huit heures. Enfin, les pigments haute précision – inspirés du monde de l’impression – s’accrochent avec subtilité, sans jamais surcharger ou dessécher les lèvres.
La petite histoire du rouge à lèvres, chez Chanel
Coco Chanel ne sortait jamais sans rougir son sourire, affirmant d’ailleurs ceci : « Puisqu’il est convenu que les yeux sont le miroir de l’âme, pourquoi ne pas admettre aussi que la bouche soit l’interprète du cœur »… Le premier rouge qu’elle frappe de ses deux C légendaires, la couturière le loge, en 1954, dans un tube rectangulaire en tout point semblable au flacon de son parfum No 5. Elle réserve même à son bâton chéri un compartiment bien à lui, dans son célèbre sac matelassé 2.55, pour qu’il entre dans la vie des femmes en même temps que dans la légende.
Information :
Rouge à lèvres Rouge COCO de Chanel, offert en 30 nuances.
38 $ l’unité, en exclusivité chez La Baie, dès le 1er mars 2010, puis à compter du 15 mars, dans tous les comptoirs Chanel des grands magasins.
