L’été dernier, au retour de ma retraite de yoga, je me sentais aussi calme et sereine qu’un moine tibétain. Totalement présente et hyper zen, j’étais bien décidée à faire tout ce qu’il faut pour me maintenir dans cet état de douce béatitude. Aussi, avais-je pris la décision de méditer. Mon objectif : 30 minutes par jour, au réveil. Très motivée, la fille…
C’était en juillet. Six mois plus tard, qu’est-il advenu de mes nobles et louables intentions? Euh… À peu près rien! Je médite quand ça adonne (pas souvent), je suis stressée comme une bine, j’angoisse pour les cadeaux de Noël et je dors mal… Mais je ne jette pas l’éponge pour autant. Je ne fais que constater que j’ai besoin de soutien. En fait, j’ai besoin d’encadrement pour me motiver à méditer de façon régulière. Toute seule dans mon salon, je n’y arrive pas.
Ce qui m’amène à vous parler du Dr Béliveau. Pas celui de Kampaï, un autre : le Dr Robert Béliveau. Lors d’un congrès, en 1992, il a rencontré le Dalaï-Lama et Sogyal, un célèbre maître tibétain. Cette rencontre l’a profondément bouleversé. À un point tel qu’en 2000, il a délaissé la médecine pour se consacrer à la mise sur pied d’ateliers de réduction du stress par la pratique de la méditation.
Ces rencontres, d’une durée de 2 h 30, ont lieu une fois par semaine, à Montréal (voir les horaires et les adresses sur le site).
Le sympathique Dr Béliveau (qui, en passant, n’a pas du tout l’allure d’un marginal ésotérique comme on en croise parfois dans de tels lieux), nous explique le plus simplement du monde comment et pourquoi méditer. Les ateliers, conviviaux, instructifs, et ouverts aux échanges, s’adressent aux débutants comme aux initiés. Et à ceux qui, comme moi, ont besoin d’un cadre pour se discipliner.
