Opinions

Vos designers préférés en ligne

Enfin, le printemps est à nos portes! Et qui dit printemps dit renaissance… et renouvellement de la garde-robe. Pour sauver du temps et attirer les regards jaloux, je vous propose de jumeler deux tendances : s’habiller de créations québécoises et acheter en ligne.

Faire les boutiques est un plaisir à ses heures, mais on ne trouve pas toujours ce qu’on veut au moment où on le veut, et on est nombreuses, parfois, à vouloir maximiser notre temps sans sacrifier notre look.

De plus en plus de designers de mode québécois profitent de cette tendance pour rendre leurs collections plus accessibles en permettant l’achat en ligne.

Une de mes griffes préférées, Annie 50  a son site d’achat en ligne  depuis deux ans, une bonne façon pour l’équipe de rejoindre les gens en dehors des grandes villes et des points de vente. « Je dirais que 75 % des acheteurs en ligne sont à l’extérieur de Montréal et souvent en région. Mais aussi, c’est que toutes nos collections antérieures ne sont pas en magasins; on peut se les procurer en ligne ou dans nos ventes d’ateliers seulement », m’a confié Amélie Gingras-Rioux, l’une des deux propriétaires.

Est-ce que je vais être obligée de casser ma tirelire?

Évidemment, si on a le goût de se payer un p’tit luxe et de s’offrir du Marie St-Pierre, on peut. Mais les créateurs indépendants et talentueux abondent et ne coûtent pas nécessairement les yeux de la tête. Je ne peux pas en faire la longue liste ici, mais voici quelques découvertes.

Tokaya  a été créée par deux filles qui utilisent la fibre de bambou pour confectionner des vêtements qu’on peut porter de mille et une façons. C’est pratique et ça a du charme. Vous pouvez visionner la démo ici

Les bijoux en polymère de Chez Laurette créent un buzz en ce moment. S.V.P., ne croquez pas dans le bijou.

Je trouve encore les tenues de fourrure recyclée d’Harricana  irrésistibles et je craque aussi pour les chapeaux en cuir de Cokluch

En ce moment, je bave d’envie devant un manteau de Melissa Nepton, une jupe fleurie d’Isabelle Elie, une robe d’Ève Gravel, et je soupire même pour un smoking de Philippe Dubuc pour mon homme imaginaire. Oui, je sais, mon panier déborde. Maintenant, l’étape la plus difficile : rester raisonnable.

 

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