J’ai cessé de compter combien de yogourts j’ai dévorés depuis le début du mois. Pour la simple et bonne raison que j’en ai consommé plus qu’en prescrit le défi Activia®. C’est la faute de ma nutritionniste. Elle m’a fait comprendre qu’un petit pot représente une demi-portion. Et, puisque je suis en train de devenir une experte en saveur Activia®, j’ai désormais mes préférées et j’en ai souvent mangé trois par jour ou deux du coup après un bon entraînement (Activia® grec à la vanille ou à la lime).
Dans ma tête, je suis déjà assurée d’avoir remporté mon pari. Envers moi-même. On fera le bilan dans une semaine. Mais mes petits pots me suivent encore partout, même chez Josélito, à sa quotidienne sur Radio 9 (voir notre tchin-tchin). Il me confiait justement au cours de cet entretien que je l’ai motivé à se lancer dans la course à pied. Je n’en revenais pas. Moi, ex-patate de salon. Comme quoi, si je peux, tout le monde peut!
En rentrant du Salon du livre de Québec tout récemment, des « amis futés » de notre émission (Cuisine futée, parents pressés) me demandaient où je puisais ma motivation. Je répondrai en deux temps. Dans ce billet, j’aborderai le sport et, dans le dernier (déjà le prochain, bouh!), je parlerai d’alimentation. Parce que les deux vont de pair et que, pour certains, l’équilibre est plus difficile à atteindre dans un domaine que dans l’autre.
Ma motivation dans le sport, je l’ai d’abord trouvée grâce à mes enfants. Ça me prenait une raison. Ils représentent la meilleure d’entre toutes. Étant un zéro absolu en sport, je trouvais ennuyeux d’aller au parc, avant. Je ne savais que faire de mes dix doigts (de pied). Quand je suis devenue coureuse, j’ai cessé d’être faite en chocolat. J’ai gagné du tonus là où je ne m’y attendais pas : dans la tête.
Tout a commencé à me sembler plus léger, plus facile, moins lourd. Bien que je sois d’un tempérament ultra-optimiste, la course m’offrait une paire de lunettes rose pour mieux voir la vie. Ce qui m’importe aujourd’hui, ma quasi-obsession, c’est de ne plus abandonner. C’est pourquoi j’ai accepté ce beau Défi Activia, aussi. Tout ce qui me permet d’exercer ma constance, je le fais. Voici une liste de petits trucs qui fonctionnent à merveille pour stimuler ma motivation :
- Planifier 6 entraînements (dans le but d’en faire toujours au minimum 4)
- Texter mes partenaires de course pour les aviser de mes courses de la semaine, et faire un rappel la veille. Pour vrai, ils finissent toujours par venir. Et courir en gang ou à deux, c’est ajouter une récréation sociale à sa vie.
- Avoir un coach, un ami « machine de course » à qui poser des questions. Le mien, c’est le patron de la boutique Endurance, Pierre Leveillée. Même sur les réseaux sociaux, il répond. Un passionné attire les passionnés.
- Courir avec des coureurs de tous les niveaux. Lors des dernières vacances chez nous, au Chili, je préparais un demi-marathon. Ma fille tenait absolument à venir avec moi. Du haut de ses 5 ans, elle a terminé les 5 km en galopant. J’agonisais presque derrière elle. C’est un petit moment à nous qu’on reprend ces jours-ci avec le printemps.
- Avoir un point d’arrivée. Je ne cours jamais aléatoirement. C’est fou comme on pense avoir parcouru une grande distance si on ne la mesure pas avant. Bref, trois tours du quartier ne font pas 8 km.
- Manger un repas complet 3 heures avant l’entraînement, et une collation une heure avant : une barre et un Activia (pas grec! Celui-là, c’est après!)
- Et un bel ensemble. Ça court mieux avec un bel ensemble! C’est vrai qu’il faut allonger quelques dollars supplémentaires, mais s’ils sont de qualité, les vêtements durent longtemps. J’ai les mêmes depuis mes débuts, il y a quatre ans.
Et puis, j’avoue avoir gagné un peu de tonus ailleurs aussi.
Bonne dernière semaine de Défi Activia® à celles qui participent à cette belle aventure! Joignez-vous à nous en vous inscrivant sur activia.ca et accumulez des points pour gagner une foule de prix!
D’autres blogueuses du programme ELLES ONT TESTÉ participent avec moi!
