Étape 1 – Bien choisir ses contenants
La règle est simple: les contenants doivent être propres, sans écorchures et avoir un couvercle. On peut donc utiliser n’importe quel type de récipients que l’on possède. Les initiés aiment bien utiliser le pot Mason ou Bernardin, puisqu’il se range bien dans les armoires, est étanche et ne conserve pas de mauvaises odeurs (pas comme notre vieux plat de plastique qui sent le spaghetti!). En plus, il est transparent – ce qui est parfait pour bien voir son contenu – et son volume n’est pas trop gros, ce qui évite de perdre des aliments par rancissement.
On évite d’acheter de nouveaux pots juste pour l’occasion. On fait avec ce qu’on a, on récupère des pots de verre provenant d’aliments transformés vendus en épicerie. Astuce: on peut en acheter des usagés sur le web!
Étape 2 – Laver ses contenants
Il faut absolument arriver à l’épicerie en vrac avec des contenants propres. On ne veut surtout pas se retrouver avec un aliment qui goûte la poussière ou pire: s’intoxiquer… Même si on a terminé notre bocal d’avoine et qu’on le remplira à nouveau de ce produit, il faut le laver, au risque de se faire retourner à la maison avec nos pots vides.
Étape 3 – Peser ses contenants
À notre arrivée en épicerie, il faut d’abord peser nos contenants pour ne pas payer le poids de ceux-ci. Généralement, cette étape se fait à la caisse alors que dans d’autres épiceries, on le fait de manière autonome. Il suffit de noter le poids sur notre bocal avec un crayon non permanent.
Étape 4 – Remplir nos contenants et noter les codes
La partie amusante commence: on choisit nos produits! À chaque remplissage, il est important de noter le code de l’aliment pour faciliter la facturation. Il n’y a aucune obligation de remplir le contenant au complet, on peut même y déposer une toute petite quantité du produit qui nous intéresse, ce qui permet de découvrir un nouvel aliment.
Étape 5 – Passer à la caisse
Finalement, à la caisse, on pèsera nos bocaux remplis, puis soustraira le poids de ceux-ci, de façon à ce que l’on ne paie que le contenu, et non le contenant. Voilà, c’est tout!
Difficile de ne pas se laisser charmer par la facilité de ce processus. Notre portefeuille nous remerciera aussi puisque qui dit vrac dit grosses économies! Qui deviendra le prochain adepte?
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