Lorsqu’on gagne une heure de sommeil en automne, le taux d’attaques cardiaques chute de 5 % dans la semaine qui suit. C’est l’inverse qui se produit quand on avance l’heure au printemps : les nuits amputées de 60 minutes de sommeil entraînent une augmentation de 5 % des attaques cardiaques dans la semaine qui suit. Morale : même si on n’est pas malade du cœur, c’est une bonne chose d’habituer son organisme au changement d’heure au printemps en se couchant progressivement plus tôt les jours qui le précèdent.