Habituellement, des dizaines et des dizaines de vêtements sont alignés sur les présentoirs lors d’une séance photo, puisque l’essayage se fait le jour même. Mais pas cette fois-ci! Tous les ensembles avaient été sélectionnés à l’avance.
Le maquilleur Marco Marsolais connaît si bien les goûts de Julie Snyder qu’il arrivait à prévoir chacun de ses besoins avant même qu’elle ne l’exprime.
Déjà, dans la quotidienne L’enfer, c’est nous autres, l’animatrice prouvait qu’elle ne craignait pas l’excentricité vestimentaire. Même si son style s’est assagi, elle apprécie toujours les morceaux un peu éclectiques, comme ces magnifiques escarpins, tirés de sa garde-robe personnelle.
C’est devant les écrans que tout se décide. Photographe, vedette et directrice artistique ont tous leur mot à dire, mais le consensus a régné tout au long de la journée. Les coups de cœur de chacun étaient toujours partagés.
La différence entre une photo correcte et une photo parfaite? L’attention aux détails!
La jolie chevelure de Julie Snyder n’a plus de secrets pour la coiffeuse Marie-Josée Lepage, du salon Pure, qui coiffe la vedette depuis plusieurs années.
Jean-Claude Lussier est assurément l’un des plus grands photographes de mode du Québec. Il n’en est pas à sa première collaboration avec la reine de la télé. Loin d’être intimidé, il formulait ses suggestions à Julie Snyder, qui a entièrement confiance en lui.
Toute la séance photo s’est déroulée au son de la musique préférée de Julie. Stromae, Bleu Jeans Bleu, beaucoup d’artistes francophones figurent sur la liste de lecture de l’animatrice.
Julie Snyder sait très bien s’entourer. L’équipe mise sur pied pour cette séance photo le démontre bien. Grâce au professionnalisme de chacun, la journée s’est déroulée au quart de tour et a été couronnée de succès.
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Après des études en chant classique au Conservatoire de musique de Québec, Andréanne Moreau a complété son baccalauréat en journalisme à l'Université du Québec à Montréal (UQÀM) et est devenue journaliste dans les hebdos locaux de TC Média, sur l'île de Montréal. C'est là qu'elle s'est fait remarquer pour ses portraits et ses reportages près du style du magazine et a été recrutée par Châtelaine. Pendant trois ans, elle y a couvert l'actualité féministe mondiale dans la section Planète Femmes, la santé et l'activité physique. Elle a également réalisé quelques longs reportages, notamment au sujet de la grossophobie médicale, de la libido et de l'anatomie féminine. Andréanne met maintenant sa plume au service de l'Orchestre Métropolitain et de son chef d'orchestre Yannick Nézet-Séguin, pour qui elle est conseillère en communications et relations publiques.
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