En couverture du Châtelaine de juin 2009, Louis-José Houde a passé quelques heures en compagnie de la photographe Monic Richard. Voici les dessous de la séance photo.
Par Texte et photos : Lucie Poulin
Mis à jour 9 novembre 2012
Dès son arrivée au studio, Louis-José lance ses premières blagues. « Me voilà sous les feux de la rampe », dit-il pendant que l’équipe s’apprête à casser la croûte. L’après-midi s’annonce agréable.
Les directeurs artistiques Éric Soulier et Isabelle Salmon ont préparé un document dans lequel figurent entre autres des publicités et des photographies de magazines mettant en vedette Louis-José. L’équipe s’en inspire pour choisir l’ambiance voulue et le style à adopter.
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Louis-José passe sous les pinceaux de Manon Parisien. Quinze minutes suffisent généralement pour maquiller les hommes. Pour les femmes, il faut de quatre à cinq fois plus de temps.
C’est ici que le travail de la styliste Dany Boudreault commence. Elle a tout prévu, de la tenue chic au style décontracté. Louis-José aime bien la cravate qu’on lui propose… un accessoire rejeté catégoriquement par la photographe Monic Richard. L’humoriste essaie ensuite un veston qui, lui, fait l’unanimité : c’est un non !
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C’est le moment d’ajuster l’éclairage et de régler l’appareil photo. Monic reçoit l’aide de son adjoint, Maxime Desbiens, l’homme à tout faire du studio... qui fait aussi les meilleurs cappuccinos !
Manon procède aux dernières retouches.
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Tout le monde est prêt. Styliste, maquilleuse, directeurs artistiques, photographe et modèle se réunissent une dernière fois pour peaufiner le concept.
Monic commence à photographier Louis-José. Elle l’apprivoise avec assurance et sensibilité. Son objectif : instaurer un climat de confiance pour que l’humoriste livre le meilleur de lui-même.
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Pendant ce temps, le jeune humoriste prend quelques poses et se fait un brin espiègle malgré lui.
Du côté droit, du côté gauche, assis, debout, assis encore, accoudé à une table… On cherche une position naturelle et confortable.
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Maxime transfère le contenu des cartes mémoire dans l’ordinateur. Il sélectionne les meilleures photos, que tous les membres de l’équipe prennent le temps de commenter. Chaque opinion compte.
Pendant ce temps, Isabelle fait des tests en créant de fausses couvertures. Sa rapidité d’exécution est étonnante, et le résultat est presque instantané. On est bel et bien à l’ère du numérique !
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Drôle, sérieux, sympathique, viril… Louis-José a joué sur plusieurs styles durant la séance photo. « Lequel préfères-tu », lui demande Monic. Son opinion est importante, car c’est de son image dont il est question.
Le résultat final !
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