À 30, 40, ou 50 ans, la vie adulte est ponctuée d’orages et d’embellies. Le corps change, bien sûr, mais aussi les valeurs, les préoccupations et la conception de l’existence. Des experts nous en parlent.
Culpabilité. Avec un grand ou un petit c, ce mot fait partie du quotidien des «mères sandwichs». Si certaines s’en veulent de délaisser leurs enfants pour s’occuper de leurs parents malades, d’autres se sentent coupables de ne pas en faire assez pour accompagner ceux qui les ont élevées. Mais toutes expérimentent à divers degrés la lourdeur, la charge émotive, l’impuissance engendrées par le déclin de leurs parents.
«Le vendredi soir, mes week-ends sont remplis de promesses. Ils se présentent comme une longue plage de possibles», écrit notre rédactrice en chef Johanne Lauzon. Mais entre le vendredi et le dimanche, la banalité prend trop souvent le dessus, constate-t-elle.
Toute l’année, nous avons rencontré des femmes de carrière, des mères, des entrepreneures et des travailleuses passionnées. Retour sur leurs conseils, astuces et leçons pour une meilleure conciliation travail-famille.
Directrice des communications et des initiatives territoriales pour le Conseil des arts de Montréal, Tania Ormejuste est âgée de 40 ans, et maman d’une bambine de 13 mois.
Si on est les parents de jeunes enfants, on sait à quel point il peut être difficile de concilier travail et famille ou pire, intégrer la marmaille à nos activités. Marianne Prairie a déniché trois initiatives qui pourraient changer la donne.