Art de vivre

Un week-end avec Maxime Denommée

Le comédien Maxime Denommée prend le temps de vivre, de bricoler et de s’amuser avec ses deux fils.


 

À quoi ressemble votre fin de semaine idéale ?
Pour moi, le week-end idéal, c’est quand je suis en famille et que je joue dehors avec les enfants. On va au parc ou chez mes parents à la campagne, à Sainte-Brigide en Montérégie. On aime bien aussi aller glisser sur des tubes, habituellement à Saint-Jean-de-Matha dans Lanaudière. À Montréal, on fréquente le lac des Castors du mont Royal où il y a plein d’activités à faire : ski de fond, patin et glissade.

Que faites-vous de votre temps libre ?
Je bricole. J’aime beaucoup travailler le bois. J’apporte des améliorations à ma maison, week-end après week-end. Je viens d’ailleurs de terminer un coffre de rangement.

Quelle est votre destination week-end préférée ?
La ferme où j’ai grandi. Je fais des tours de tracteur avec mes gars… On joue, on fait de grandes promenades. Derrière l’étable, il y a l’étang où j’ai appris à patiner et, comme mes petits en sont à leurs premiers coups de patin, je les y entraîne.

Quel est votre plaisir coupable du week-end ?
Ce serait peut-être… le scotch ! En prendre un petit verre quand les enfants sont couchés.

Qu’est-ce que vous aimez concocter le samedi soir ?
Notre gâterie, c’est une viande – un bon contrefilet de la boucherie Champfleuri sur le Plateau – et du vin rouge. Ça peut être un chilien comme le Errazuriz Max Reserva, que j’aime bien.

On a souvent de la visite. C’est bien agréable de voir des amis. La plupart ont des enfants, comme nous. Ça tourne donc autour d’eux. On les fait manger avant nous et on les installe ensuite devant un film afin de se retrouver tranquillement entre adultes. Mais c’est quand même difficile d’avoir de longues discussions…

À quand remonte votre dernière escapade week-end ?
Ça fait trop longtemps ! La dernière fois, c’était à l’auberge-restaurant L’œuf, à Mystic, dans les Cantons-de-l’Est. Ma blonde et moi, on en a profité pour se faire dorloter à l’Euro Spa, à 10 minutes de là. C’était vraiment reposant. Il y a deux ans, on est allés, en famille, dans le sud de l’Italie, en Calabre plus précisément, sur le bord de la mer.

Secrètement, avec qui aimeriez-vous gagner un week-end de rêve ?
Peut-être avec l’auteur-compositeur-interprète Rufus Wainwright. Je ferais de la musique avec lui. J’irais n’importe où, du moment qu’il y aurait un piano et une guitare. Chanter avec Rufus, ce serait pas pire ! J’ai toujours aimé sa musique.

Votre endroit de prédilection pour faire du lèche-vitrine ?
Je ne magasine pas souvent, mais j’ai quelques bonnes adresses. Pour les vêtements, je vais chez Dozier, rue Saint-Denis et pour les chaussures des enfants, j’ai découvert Piétine, avenue Querbes, à Outremont. En tant que bricoleur, j’aime beaucoup tout ce qui est quincaillerie. J’ai un faible pour le Rona Delorimier, rue Mont-Royal Est. Il offre un grand choix de peintures et son personnel donne de bons conseils.

Votre arrêt gourmand par excellence ?
Je suis attaché au Bistro Bienville, rue de Mentana, et au Tri Express, un sushi bar de l’avenue Laurier Est.

Quel est le film que vous ne vous lassez pas de regarder ?
J’en ai plusieurs, mais en ce moment c’est un film coréen, Old Boy de Chan-wook Park. La réalisation, le jeu des comédiens, le scénario : tout y est. C’est vraiment un cocktail explosif.

Le disque que vous écoutez en boucle ?
C’est tout nouveau. C’est ma dernière découverte. Ça s’appelle Vampire Weekend, du groupe du même nom. C’est du bon rock alternatif.

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