Soins du visage et du corps

J’ai testé des huiles précieuses

Une alternative pour les peaux sensibles.

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Sensible et eczémateuse, ma peau réagit à la moindre agression. Un coup d’œil dans un miroir super grossissant me le confirme : les plaques sèches y ont l’air de cratères lunaires et les boutons, de volcans en éruption. Au secours !

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Ma collègue Chantal Éthier (qui signe l’article La peau : petits bobos et solutions) m’a parlé de l’huile de rose musquée du Chili, riche en oméga-3, oméga-6, vitamines A et E. Dès le lendemain, au coucher, mon visage était enduit de cette huile orangée qu’on dit nutritive et régénérante. Une alliée contre rides, cicatrices, taches brunes, couperose, eczéma, psoriasis… J’ai tout de suite aimé – le Dr Oz aussi. Il en a parlé à son émission. Attention, pénurie en vue.

J’ai eu envie d’expérimenter autre chose. Je me démaquille maintenant à l’aide d’huile. Celle de la graine de sacha inchi, originaire de l’Amazonie, remplace ma crème contour des yeux : cette « huile sèche », qui sent le gazon frais coupé, stimule la microcirculation. Avant d’appliquer ma lotion de jour, à l’occasion, je tamponne mon visage avec un soupçon d’huile de figue de Barbarie, aux propriétés tonifiantes.

Les masques à l’argile sont bonifiés par quelques gouttes très aromatiques d’huile de noix de calophyllum de Madagascar. Un vrai coup de fouet pour les peaux flagada. Bientôt, je passerai à l’huile de noyau d’abricot, de margousier ou de baobab. Pour explorer encore un peu. Je vous tiens au courant.

Dans les magasins de produits naturels ou en ligne.

À privilégier, les marques québécoises, dont Divine Essence pour la rose musquée du Chili (14,99 $/30 ml), le Sacha Inchi (8,99 $/30 ml), la figue de Barbarie (19,99 $/5 ml) et le Calophyllum (13,99 $/30 ml).

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