Je sais, c’est tard dans une vie. Et les Capiennes sont fidèles au gin tonic. Cette fin de semaine j’ai fait connaissance avec l’eau-de-vie qui m’accompagnera jusqu’à mon lit de mort. C’est pas rien. J’annonce officiellement que mes fiançailles sont rompues avec la vodka et je baptise la seconde moitié de ma vie à la grappa. C’est snob, c’est cher, c’est design, ça donne des ailes, ergo, c’est italien.
Et j’ai su qu’il y avait un « avant » et un « après » grappa lorsque j’ai dansé durant deux heures en écoutant l’émission de mon ami Languirand hier soir. C’est exactement ce que j’aime de la grappa (elle est dans mon congélo avec la vodka), elle nous emmène par quatre chemins. Et on ne cherche même pas sa boussole. On se contente de deux Tylenol le lendemain matin.