On les retrouve partout dans Paris, les petits manèges, carrousels anciens ou nouveaux, devant les bouches de métro, ils nous rappellent que la vie tourne tourne tourne sur elle-même…
Métro Abbesses, mon préféré, et un touriste, mon préféré aussi. Qui disait : »Je ne veux pas être aimé, je veux être préféré« ? Wilde ou Voltaire?
Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux…
Et tout en bas des escaliers, on aperçoit des joueurs de pétanques. Il ne reste plus que deux villages dans Paris, la Butte aux cailles et Montmartre. Scène de village un après-midi de semaine…
En haut de la rue Saint-Vincent, un poète et une inconnue, s’aimèrent l’espace d’un instant mais heureusement, ils se sont revus.
En haut de la rue St-Vincent et des escaliers de la butte, je chante la fabuleuse « Complainte de la butte », accompagnée de mon accordéon imaginaire. Le fiancé braille et il me certifie que c’est son plus beau souvenir de Paris. Ça c’est du Paris pas cher! À 16 ans, je la chantais dans le Quartier Latin avec un orgue de Barbarie que possédaient des amis musiciens. Je connaissais déjà Mouloudji par coeur, j’étais rétro avant l’heure, j’y peux rien. I-nou-bli-a-ble. Et, bien sûr, un jour, j’aimerais bien faire tourner le mien. Quant à savoir si je ferai la manche avec un petit singe pour tourner la manivelle… En attendant, voici l’originale.
La dernière vigne de Montmartre. En arrière-plan, le célèbre Lapin Agile. Pour l’instant, le lapin agile, c’est le fiancé, grimpé sur la grille qui entoure la vigne et qui risque de se casser le cou pour prendre cette photo.
Allez, je me casse. À demain pour les ders de der.