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Léa & Louise

Supervénus est-elle la femme parfaite?

Et pourquoi vouloir lui ressembler si elle n’existe pas?
Par Léa Clermont-Dion
Supervénus est-elle la femme parfaite?

Je reviens sur cette vidéo qui a fait grandement jaser sur les médias sociaux. Je l’avais vue passer sans y porter une attention particulière. C’est en la visionnant que j’ai réalisé le génie de la chose. Il faut le voir pour comprendre. Un chirurgien esthétique fabrique en temps réel la femme « parfaite ».

Frédéric Doazan est un réalisateur de films d’animation. Il est le créateur de cette capsule forte. La vidéo qui a remporté une multitude de prix dans le monde entier pose, encore une fois, cette question fondamentale : pourquoi tenter de ressembler à la femme parfaite si elle n’existe pas?

Ce court-métrage est percutant parce qu’il cible une préoccupation réelle, persistante, importante. Un sondage commandé par La Presse et Crop et publié la fin de semaine dernière arrive à des conclusions qui ne nous surprennent pas. Il existe une forte corrélation entre le bonheur et l’image de soi. Plus les Québécois se trouvent beaux, plus ils sont heureux. Or les Québécoises s’attribuent une moyenne de beauté de 6.45 sur 10.

D’ailleurs, saviez-vous que seulement 4 % des femmes dans le monde se trouvent belles? L’idéal de beauté, unique, est difficilement atteignable. Supervénus le démontre à merveille.

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