J’ai dévoré à peu près tout Jules Verne pendant mon adolescence, mais j’ai gardé une préférence marquée pour Michel Strogoff, peut-être à cause de sa tête de cochon et de son grand respect pour sa mère. Et, comme pour tous les autres romans de cet auteur, j’ai lu avec délice les nombreuses et longues descriptions des personnages, des actions, des paysages. J’ai rêvé des steppes de Russie pendant des mois ! Je l’ai relu cette année, avec un œil différent bien sûr, mais j’ai retrouvé la joie de suivre les péripéties d’un vrai roman d’aventures.