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Art de vivre

3 restos à découvrir à Montréal, Brossard et Québec

Avec l'arrivée du printemps, la tentation est grande de sortir de notre hibernation et de découvrir de bonnes tables ! En voici trois qui valent le détour. 
Restaurant Le Commodore Photos: Steve Walsh, Adrien Williams/Rabih Rechdan

Le Commodore, Montréal

Situé au rez-de-chaussée de l’hôtel Honeyrose, au cœur du quartier des spectacles, à Montréal, le Commodore offre à ses convives une ambiance feutrée, à l’abri du brouhaha extérieur. Le savoir-faire du chef Gregory Faye, acquis entre autres dans de grands hôtels de Paris dont le Meurice et le Georges V, se voit et se goûte dans tous les plats, présentés dans des assiettes montées avec élégance. La carte propose notamment des viandes et des poissons accompagnés de sauces émulsionnées classiques, comme la béarnaise et la choron, et des desserts « rétro », comme la pavlova et la religieuse. Le chef, spécialiste des pâtés en croûte, en signe un fait de viandes du Québec, servi avec une gelée de champignons divine. Son crudo de pétoncle, sa morue accompagnée d’une béarnaise au beurre noisette et des tuiles de courges spaghetti étaient de même qualité. Un mariage de saveurs audacieux, mais toujours juste.

Le Commodore, 355, boulevard de Maisonneuve Ouest, Montréal.

Restaurant La Tomate Blanche Photos: courtoisie La Tomate Blanche

La tomate blanche, Brossard

Ce restaurant, l’un des premiers à s’être établis au Quartier Dix30, propose un menu typiquement italien et de fort belle tenue : antipasti qui font une large place aux fruits de mer, pâtes, risottos et pizzas à profusion. L’escalope de veau d’une tendreté parfaite était accompagnée de légumes bien croquants, tandis que le risotto aux champignons, franchement délicieux et cuit à la perfection, était généreux à souhait. En dessert, le tiramisu tient le haut de l’affiche, évidemment, mais les beignets à la ricotta, spécialité de la maison, méritent aussi notre attention. Ils ont conclu le repas sur une note, ma foi, assez cochonne, merci. Installée à quelques pas du Théâtre Manuvie (L’Étoile de Brossard), La tomate blanche permet d’amorcer une soirée culturelle de belle façon et de plonger brièvement au cœur de l’Italie.

La tomate blanche, 1725, avenue des Lumières, Brossard. 

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Restaurant La distillerie Arsenal & Co. Photos: Ludovic Gauthier et instagram_distillerie.arsenal

La Distillerie Arsenal & Co., Québec

D’entrée de jeu, l’immensité des lieux laisse pantois. Plafond de 15 m de hauteur et salle à manger d’au moins 250 places réparties sur quatre paliers. Ça coupe le souffle, mais pas l’appétit, heureusement. Au menu, une cuisine bistro sans prétention : pizzas, porc effiloché, viandes grillées… On déguste le tout dans une ambiance festive – oserons-nous dire survoltée ? – assurée entre autres par des prestations musicales en direct sur une scène aménagée à une extrémité de la salle. Lors de notre passage, un groupe rock enchaînait les succès des années 1980. Installé dans une ancienne cartoucherie, le resto n’est que la première phase d’un complexe qui devrait abriter, à terme, une distillerie de rhum, de vodka et de whisky, une salle de vieillissement des spiritueux, une boutique, une vaste terrasse sur le toit et un potager. Un bel endroit pour les soirées endiablées, mais peut-être moins pour les tête-à-tête en amoureux…

Distillerie Arsenal & Co., 1195, rue Taillon, Québec.

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Journaliste depuis plus de 30 ans, Daniel Chrétien se passionne pour les magazines. Il a notamment mis sa plume au service de Québec Science, de L'actualité et de Châtelaine, où il a travaillé comme rédacteur en chef adjoint pendant cinq ans. Au cours de sa carrière, il a remporté une dizaine de prix de journalisme, dont le prix Jean-Paré, remis au journaliste magazine de l'année au Québec. Aujourd'hui journaliste indépendant, il continue à collaborer avec Châtelaine sur une base régulière, en signant des reportages culturels ou traitant de sujets sociaux qui touchent les femmes.

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