Je ne connaissais pas du tout. C'est mon amie Geneviève qui, comme cadeau d'anniversaire, souhaitait assister à son spectacle, présenté au festival Pop Montréal. C'est ainsi que ma bande de copines et moi prenons place à l'Olympia, un samedi soir frisquet. Mis à part la fêtée, nous avions déjà entendu parlé du pianiste montréalais, sans avoir écouté avec attention les albums de sa carrière.
Bondé, L'Olympia était plongé dans la noirceur. Vêtu d'un peignoir noir et chaussé de pantoufles, Chilly Gonzales s'avance sur scène et s’installe sur son piano. Seul un écran rectangulaire, où est projeté le clavier du piano, fait office de décor. Dès les premières notes, le silence se répand, tout le monde tend l'oreille. On suit les mains qui se baladent sur l'instrument, et on se laisse envoûter par les sons mélodieux qui en émanent. Gonzales a un véritable don pour faire ressortir du piano, un instrument froid (c'est lui qui le dit!), les émotions qu'il désire transmettre.
Je vous laisse le découvrir avec vidéo, qui comprend les airs qui me sont restés en tête.
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