Petit lancement improvisé à la buvette Chez Simone vendredi soir dernier. Que des filles au menu. Intimiste, comme j’aime. Une occasion « d’être contentes ensemble », dixit Anne-Saskia. Comme je l’ai glissé à Louise Loiselle, mon éditrice, j’étais ravie de me retrouver en compagnie d’un groupe de jeunes femmes, quasi des oies blanches, mais qui ont vu neiger. Sans me prendre pour une mentor, je sais que je les inspire. Et c’est ce qui me fait le plus chaud au coeur. Constater qu’on donne la permission aux autres de s’affranchir et d’éclore, pour ensuite s’envoler.
Annick Désormeaux, à la conception graphique de l’oie blanche et Dominique Lafond, la photographe audacieuse.
Bien sûr, un off-lancement d’une non-oie ne serait pas une réussite sans de bons copains qui débarquent à l’improviste. Les deux plus beaux célibataires en ville se sont joints à nous pour notre plus grand bonheur.
(Photo: Dominique Lafond). Jean Lemire, amateur d’oies.
« Tu vois, la vie c’est de trouver l’équilibre entre ce qui est permis et ce qui ne l’est pas. Accepter la faille, c’est accepter de vivre. Là, Josée accepte de dire, je ne suis plus une oie blanche. Ça fait partie du défi« , a-t-il dit à l’intention de l’oie blanche qui a travaillé très fort sur ce bouquin, ma Caroline-Julie chérie.
Et puis, bien sûr, ça prenait un psy pour me chercher des poux (d’oie).
(Photo: Joblo, assistée de Jean Lemire) Mariano Lopez, s’initiant à la prose ornithologique. S’il a survécu à l’Antarctique, il devrait pouvoir s’en remettre assez rapidement… Unisexe ce bouquin!