Générale

Un commentaire sur les commentaires

Comment dire… Vous êtes vraiment d’un soutien inespéré. Et si vous êtes remerciés dans le bouquin, je le fais ici aussi. Depuis ses débuts, ce blogue n’a jamais été le royaume des trolls ou des langues sales. Et, sincèrement, je l’apprécie tout autant que je m’interroge. J’ai vu des foires d’empoigne s’installer récemment, autour d’un menu de cabane à sucre chez Marie-Claude. Pour une oreille de crisse dans la salade, les lecteurs s’invectivent entre eux!!!

Scuzez du peu mais il me semble qu’il y a des choses plus importantes à faire, à dire, à accomplir. Les « réguliers » qui fréquentent ce blogue me donnent toujours le sentiment de faire avancer le discours ou l’idée proposée. Ça respire l’amour, le respect, la solidarité, des amitiés virtuelles se sont nouées, bref, vous êtes une belle gang et je profite de la parution de « Je ne suis plus une oie blanche… », recueil des pages de ce blogue, pour vous redire mon appréciation et mon admiration. L’espoir qu’on trouve ici, je ne le retrouve nulle part ailleurs et vous faites partie intégrante du processus qui s’accomplit. Rien de moins qu’un miracle (c’est la semaine sainte, j’ai le droit!), un timide rayon de soleil et de solidarité dans la grisaille ambiante.

Pour ceux qui débarquent ici pour la première fois, je suggère de lire les commentaires (ceux de Denis et La Louve, par exemple -toujours aussi poétiques et humains-qui sont ici depuis le début) qui ajoutent, assaisonnent, adoucissent ou corsent ce blogue. Les seuls commentaires que je ne publie pas sont ceux qui s’attaquent aux gens que je connais.

Ma devise: « Don’t touch the family« . Et vous en faites désormais partie.


Les Sopranos

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