Un jour.
Ou l’autre.
L’ennemi est devant.[adspot]
L’œil glauque, le sourire démoniaque, il veut ta peau.
Ou celle de quelqu’un que tu aimes.
La guerre sera sale, le combat féroce.
Sortir les armes : un crayon feutre, une paire de runnings.
C’est tout?
C’est tout ce que j’ai.
Écrire le nom du salaud sous sa semelle.
Courir, la rage au cœur, la foulée meurtrière, jusqu’à ce que le bitume le fasse disparaitre de sous tes semelles, jusqu’à ce que la paix, fragile et provisoire, revienne.
C’est tout?
C’est déjà ça.
***
Remerciements à Julie « Doc » Schreiber pour cette prescription, universelle.
On ne dira jamais assez le pouvoir d’écraser l’ennemi sous sa semelle…