Un blanc qui lance bien l’apéro ! Ou qui sied aux plats de fruits de mer ou de poisson, comme un ceviche. C’est frais, vif et sec. Élaboré à Hemmingford, en Montérégie, ce vin n’a rien à envier à ceux qui proviennent de l’étranger avec ses cépages seyval et vidal. Une réussite signée par le vigneron Sébastien Daoust et son équipe.
Voilà un vin passe-partout qui se marie bien tant avec la dinde, que le poulet ou le poisson. Son nez est si floral qu’on se sent transporté dans un champ de fleurs où butinent les abeilles. Il est aromatique avec une belle minéralité. Ses cépages : clairette, grenache blanc et viognier. On fait bonne provision de ce blanc certifié bio et nature – c’est-à-dire sans ajouts d’intrants, comme les sulfites, et produit avec un grand souci environnemental !
Ce rouge italien du Piémont exprime une intensité subtile qui ravit les papilles. Servi en accompagnement de pizzas, de pâtes ou d’une assiette de fromages et de charcuteries, il saura les mettre en valeur avec ses notes de fruits rouges. Un excellent rapport qualité/prix pour ce vin constitué d’un cépage unique, le barbera, issu d’une exploitation familiale du nom de son fondateur, Michele Chiarlo.
Un syrah d’une belle complexité à un prix très correct. En bouche, c’est une explosion de saveurs qui vont de la prune au chocolat noir en passant par des épices exotiques. Ce vin de la vallée de la Barossa, principale région vinicole de l’Australie, tient tête aux saveurs prononcées d’un cari, d’un tajine ou d’un carré d’agneau. Mais convient aussi aux autres viandes rouges.
Vin blanc, Québec, code SAQ 13797979, 18,80 $
Produit et mis en bouteille à Dunham, dans les Cantons de l’Est, ce blanc tout en délicatesse est le parfait compagnon des huîtres, des moules et des sushis. Il se révèle avec des notes d’agrumes (citron, pamplemousse) et une bonne dose de minéralité et de vivacité. Bon à savoir : Union libre cidre et vin appartient maintenant au Vignoble de l’Orpailleur, pionnier du vin québécois.
Pour les grandes occasions, on passe outre le prix un peu élevé – plus de 30 $ – de ce rouge fait de sangiovese, de cabernet sauvignon et de merlot. Élevé en fût de chêne français et américain, le Modus se déploie avec des nuances de cerises rouges et d’épices. Le résultat : un vin souple, ample, complexe. Fondée en 1877, la maison Ruffino est ancrée dans le terroir de la Toscane. Tous ses vins sont biologiques depuis deux ans ; ils devraient être certifiés en bonne et due forme en 2025.
Les vins portugais gagnent de plus en plus d’adeptes en raison de leur rapport qualité/prix inégalable. Et ceux de la Vallée du Douro n’y échappent pas, dont le blanc Oscar's Organic. Les cépages gouveio et arinto lui apportent un mélange de flaveurs peu communes : on y perçoit des fruits du verger (de la poire, de la pêche) et des agrumes. Vif, très sec et, comme son nom l’indique, biologique.
Un concentré aromatique se cache dans cette bouteille. Ce vin est en effet à la hauteur de son terroir – le Château Pey La Tour se trouve à mi-chemin entre Bordeaux et Saint-Émilion, où sont élevés de très grands crus. Pour qu’il prenne davantage d’ampleur, mieux vaut le faire aérer une trentaine de minutes avant de le servir. Ce classique, dont on ne se lasse pas, se marie bien au magret de canard, à l’osso buco, à la moussaka et à la tourtière.
Non filtré, ce vin nature sort des sentiers battus avec une proposition audacieuse. C’est si goûteux ! Il saura plaire à ceux et celles qui aiment les nectars hors normes. On sent une légère amertume en finale avec une pointe citronnée. Taux de sucre très faible… de même qu’un taux d’alcool à 12 %.
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