Nous sommes des battantes. On ne lâche jamais, on s’investit à fond. Et on se souhaite un podium à chaque projet.
Pourtant, on n’a pas que des bons coups derrière la cravate. On apprend de nos erreurs... Combien de fois nos mères nous l’ont-elles dit ! Faut croire que c’est vrai. C’est chouette de réussir du premier coup, mais la fierté, l’humilité et le courage s’acquièrent à la dure.
L’échec fait partie de la vie. Et le craindre soumet à une pression qui mine l’épanouissement. On accueille donc les revers – parfois avec les dents serrées. Cela nous permet de faire mieux la prochaine fois. Prendre des risques, essayer, plonger, voilà ce qui nous garde en vie. Et tomber fait moins mal lorsqu’on sait qu’on n’est pas tombée pour rien !
À LIRE: Se relever après un échec, c’est possible!
Valoriser l’effortLe sien et celui des autres. On n’apprend pas autrement qu’en se retroussant les manches.
S’amuserAucune médaille ne satisfait plus que le sentiment d’avoir eu du fun au cours du processus.
Fractionner ses objectifsAccumuler de nombreuses petites victoires solidifie la confiance en soi.
Gérer ses attentesCrinquer l’indulgence et baisser d’un cran l’exigence. Le bon dosage relâche la pression et prévient la déception.
Noter les bons coupsOn ne se rappelle trop souvent que les mauvais.
Étirer le calendrierVouloir avancer trop vite ajoute un stress inutile.
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