Bottles of champagne in a bucket with ice, focus on the central front bottle, shallow DOF
Ce cava espagnol est simple et efficace. Son attaque est croquante, et sa bouche légèrement parfumée. C’est le vin idéal pour préparer des cocktails. Pour faire un kir royal ou un mimosa, il faut savoir qu’il est aussi offert en demi-bouteille. Les mousseux de Codorníu sont parmi les plus anciens d’Espagne, l’histoire de la maison remontant au milieu du 19e siècle. Ces vins effervescents sont produits de la même façon que ceux de la Champagne.
En plus d’être exquis en bouche, ce vin du Luxembourg sent divinement bon ! L’assemblage de riesling et de pinots blanc et auxerrois apporte des arômes de pêche, de citron et de poire. Sur les papilles, on perçoit une pointe de sucre, mais rien d’exagéré. On le sert avec un tartare de saumon ou de petites bouchées de foie gras. Ce sera inoubliable !
Poll-Fabaire Cuvée Brut, SAQ 12551029, 19,75 $
Le prosecco est à la mode et celui de la maison Bortolomiol fait toujours un tabac. Sa bouteille noire opaque est amusante. Quant au vin, l’attaque est festive, croquante. Les bulles sont délicates et révèlent des arômes de pomme et d’amande. À découvrir ! Bon à savoir : le prosecco est principalement élaboré à partir de la variété de raisin nommée glera.
Bortolomiol Prosecco di Valdobbiadene 2014, SAQ 10654956, 21,25 $
C’est toujours épatant de déguster un mousseux blanc fait avec des raisins rouges. Ce blanc de noirs est issu exclusivement du pinot noir. Le secret ? Seule la peau du fruit est colorée, pas la chair. Il suffit donc de laisser la peau le moins possible en contact avec le jus pour obtenir un vin blanc prêt à être transformé en mousseux. Et quel mousseux ! On goûte des notes de fruits rouges et de pomme à chair rosée comme la Geneva. La bouche est tonique et rafraîchissante.
Bailly-Lapierre Crémant de Bourgogne Brut, SAQ 11565015, 24,95 $
Cette bouteille ne fait pas « pop », mais plutôt « crac » ! Sous cette capsule à vis se cache le vin le plus vendu en Nouvelle-Écosse. Concocté par le Québécois Jean-Benoît Deslauriers, le Nova 7 est un assemblage de plusieurs cépages, dont du muscat, un raisin aux arômes très parfumés. Le résultat est charmant et légèrement pétillant, avec une finale douce et sucrée. En plus, il ne contient que 7 % d’alcool. À déguster au brunch avec des œufs à la bénédictine.
Voici des bulles élaborées comme un champagne, mais qui proviennent du nord de l’Italie, dans la région de Trentin. Elles sont produites à partir de chardonnay par le domaine Ferrari. En bouche, c’est onctueux et délicieux. On décèle un petit côté épicé qui fera un malheur avec des huîtres à l’apéritif.
Ce mousseux espagnol est certainement l’un des meilleurs vendus au Québec. Son nez embaume les fleurs et les fruits rouges. Sa bouche est crémeuse, suivie d’une texture presque corsée. La finale est longue et minérale. Bref, pour 25 $, c’est une aubaine ! La famille Raventós avait été la première à commercialiser son mousseux sous le nom de cava en 1872. En 2012, elle se retire de cette appellation pour en créer une nouvelle, le « Conca del Riu Anoia », dont les vins sont produits avec des cépages autochtones.
Raventos i Blanc De Nit Conca del Riu Anoia 2013, SAQ 12097954, 24,80 $
Ceci n’est pas un champagne : c’est un mousseux de la maison champenoise Roederer, en Californie. Mais on pourrait croire qu’il provient de la France tant la qualité et la finesse du vin sont au rendez-vous. La bouche est ronde, nourrie par une effervescence soyeuse. Aux arômes de fleurs et de fruits à chair blanche s’ajoutent des notes boisées. Vin superbe, belle longueur. Ça vaut le coup de payer un peu plus.
Rien de mieux pour se gâter que de sabler le champagne. Ceux de la maison Taittinger sont délicieux. Dans le verre, ce brut réserve est rempli de fruits jaunes, de pain grillé et d’amandes. C’est long et savoureux. Avez-vous déjà servi du champagne avec du poulet grillé ? Les notes beurrées du mousseux se marient à merveille avec celles de la volaille. Alors, champagne et dinde, on essaye ?
Ce n’est pas tous les jours qu’on ouvre une bouteille à 80 $. À ce prix, promis, les attentes ne seront pas déçues. Ce champagne rosé est produit par la maison Henriot, fondée il y a plus de 200 ans. Né d’une telle expertise, ce n’est pas surprenant qu’il soit si bon ! L’effervescence est délicate et crémeuse. Le nez révèle des notes de fumée, de cendre, de fruits rouges et d’épices. On goûte les fleurs et les fruits. Tout simplement magique !
Henriot Brut rosé, SAQ 10839635, 78,50 $
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