Bien-être

Pause bien-être avec Heather O’Neill : L’art de dompter l’inquiétude

Comme bien des écrivaines, Heather O’Neill ressent un immense trac lorsqu’elle doit faire la promotion de ses romans. Puisqu’un de ses livres vient de paraître en anglais, When We Lost Our Heads (la traduction française, Perdre la tête, paraîtra sous peu chez Alto), la Montréalaise n’a pas le choix : elle doit mettre ses trucs en pratique !

La journée débute…
Quand mes chiens viennent me voir pour sortir. Ils jouent le rôle de réveille-matin. Quitter le lit est difficile et leur présence m’aide à me reconnecter avec le monde qui m’entoure.

Ma stratégie la plus efficace pour gérer le stress
Je m’accorde le droit de m’inquiéter, mais seulement à des moments précis. Et je les prévois à mon agenda ! Par exemple, je planifie une heure d’inquiétude quelques jours avant une présentation devant le public, puis une autre heure et demie juste avant la rencontre. En dehors de ces périodes, je me dis que cela ne sert à rien de stresser et que je pourrai le faire plus tard. Et ça marche.

Une activité qui me calme
Lire ! Je dévore de trois à cinq livres par semaine. Je me plonge dans des essais, des romans, peu importe. Cela occupe mon esprit hyperactif.

Une soupape que j’utilise en cas de besoin
Si quelque chose m’angoisse, j’appelle ma fille. Elle a 27 ans maintenant. Elle sait exactement quoi dire pour me calmer. Et je fais la même chose pour elle. C’est extraordinaire de pouvoir compter sur quelqu’un qui est toujours disponible pour nous écouter. Et pour nous répéter des choses qu’il nous a déjà dites ! [Rires.]

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