L’âge d’or, vraiment?
D’ici 40 ans, le quart des retraitées japonaises pourraient vivre sous le seuil de la pauvreté, selon un économiste de l’Université Hitotsubashi, à Tokyo. C’est deux fois plus qu’aujourd’hui. En cause, un écart salarial parmi les plus prononcés des pays développés. Les Japonaises gagnent en moyenne 73% du salaire des hommes, selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Et les deux tiers d’entre elles occupent un emploi à temps partiel. Par ailleurs, la population vieillit et le taux de natalité est au plus bas, ce qui affaiblit le système de pensions publiques, déjà sous-financé. Les Japonais n’ont donc d’autre choix que de mettre eux-mêmes de l’argent de côté pour leur retraite. Pas évident, quand on travaille à temps partiel!
Source: The Japan Times
On demande d’abord, svp!
Dans plusieurs États américains, il est tout à fait légal pour un médecin ou ses étudiants de mener un examen gynécologique sur une patiente anesthésiée, sans avoir d’abord obtenu son consentement. On souhaite ainsi s’assurer que les futurs médecins s’exercent sur des sujets vivants. Or, dans la majorité des cas, les femmes ne sauront jamais qu’elles ont servi de cobayes. Des lois visant à bannir cette pratique ont été adoptées dans 11 États l’année dernière. D’autres projets de loi sont encore à l’étude. Au Québec, le code de déontologie des médecins oblige ces derniers à obtenir le consentement libre et éclairé d’un patient avant d’entreprendre un examen ou un traitement, à moins qu’il ne s’agisse d’une urgence.
Source : The New York Times
Sécher les cours pour la cause
«C’est la seule amie pour laquelle je manquerais un jour de classe.»
Malala Yousafzai, lauréate du prix Nobel de la paix et militante pour le droit des filles à l’éducation, à propos de l’activiste pour l’environnement Greta Thunberg.