Valerie Belin - Surface/Tension
jusqu’au 8 février 2015
DHC/ART Fondation pour l’art contemporain
451 et 465, rue St-Jean
Fondation incontournable à Montréal où, de plus, les expositions sont toujours gratuites. On peut actuellement y découvrir le travail de deux artistes fort intéressants: Valérie Belin et Richard Mosse. Belin est une photographe française qui oeuvre depuis près de 20 ans dans le domaine de l’art contemporain. Elle propose des photographies singulières qui questionnent le vrai et le faux, qui déstabilisent le spectateur par son analyse poussée des qualités du médium photographique.
Photo: Valérie Belin
Valerie Belin - Surface/Tension
En utilisant du noir et blanc ou encore des couleurs ultra saturées, Belin offre au visiteur des oeuvres fortes teintées d’une inquiétante étrangeté.
Photo: Valérie Belin Sans titre 2007 épreuve à développement chromogène Avec l’aimable concours de l’artiste et de la Galerie Nathalie Obadia, Paris/Bruxelles
BNLMTL 2014 : L'avenir (looking forward)
jusqu’au 4 janvier 2015
Mystérieuse, graphique, politique, la Biennale présente le travail d’une soixantaine d’artistes de tous horizons. Sous le thème «L’avenir» et en collaboration entre la Biennale et le Musée d'art contemporain de Montréal, les oeuvres se déploient dans le musée et ailleurs dans la ville en dialoguant efficacement entre elles. On regrettera seulement qu’il n’y ait pas de publication qui accompagne le tout.
Photo: Guy L'Heureux Nicolas Baier, Eternity (2014) acier inoxydable 3 X 7.6 X 2.6 m.
BNLMTL 2014 : L'avenir (looking forward)
jusqu’au 4 janvier 2015
Photo: Taysir Batniji image de la série Interface (2014) série de 79 photographies, jet d'encre sur papier 80 X 53 cm (avec l'aimable permission de l'artiste, Sfeir-Semler Gallery, Beyrouth, Liban et Hambourg et Galerie Éric Dupont, Paris; une commande du Ministère de la culture de Bahrein, 2013)
jusqu'au 8 février 2015
DHC/ART Fondation pour l’art contemporain
451 et 465, rue St-Jean
Également photographe, Richard Mosse présente une série de photographies et de courts métrages tournés en République démocratique du Congo. À l’aide d’une pellicule infrarouge (habituellement utilisée par l’armée américaine pour effectuer de la surveillance aérienne), il capte des moments qui, avec les couleurs transformées en tons de rose fushchia presque violents, donnent des scènes particulièrement irééelles.
Photo: Richard Mosse, Love Is The Drug, 2012, c-print numérique, 279.4 x 534.5 cm (110” x 211”). Avec l’aimable permission de l’artiste et de Jack Shainman Gallery, New York.
jusqu'au 8 février 2015
Dans une autre salle, les courts films sont projetés dans une scénographie brillante qui plonge le spectateur dans un univers troublant où les images sont poignantes et donnent l’impression d’être dans un rêve éveillé. On est à la fois charmé par ces couleurs chaudes et vibrantes, et également troublé par tout ce qu’elles sous-entendent et la puissance de celles-ci. Richard Mosse, The Enclave, 2013. Vue d’exposition. Installation vidéo à 6 écrans, film couleur infrarouge transféré au vidéo HD. Tourné dans l'Est du Congo. Avec la permission de l'artiste et Jack Shainman Gallery.
Photo © Tom Powel Imaging Inc.
jusqu’au 25 janvier 2015
Le Musée des beaux-arts de Montréal présente actuellement une grande exposition dédiée au passage de l’impressionnisme à l’expressionisme. Kandinsky, Van Gogh, Kirchner, mais également des noms moins connus, mais tout aussi intéressants (sinon plus!).
Photo: Myriam Daguzan Bernier
jusqu’au 25 janvier 2015
Plutôt linéaire, la présentation vous plongera au coeur des liens entre les différents courants, de l’influence de l’effervescence d’une ville comme Paris à l’aide de photos d’archives et de textes explicatifs. N’hésitez pas à payer un petit surplus pour l’audioguide; cela bonifiera grandement votre visite!
Photo: Myriam Daguzan Bernier
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