Fan de mode, Dominique Fils-Aimé est arrivée à la séance vêtue d’un look street. On la dirait déjà prête à poser, alors qu’elle confie son visage aux soins de la réputée maquilleuse Mayillah.
Dominique Fils-Aimé adore le lilas, une couleur qui lui va à ravir, comme le styliste Simon Venne peut le constater.
Fenty Beauty, la gamme de produits lancée par la chanteuse Rihanna, offre une palette de teintes beaucoup plus étendue que d’autres marques, notamment toutes les carnations de peau noire.
Discussion à bâtons rompus entre Dominique Fils-Aimé et le codirecteur artistique par intérim, Michel C. Tremblay, musicien à ses heures. En fond sonore, une musique qui plaît à notre cover-girl – notre directrice de production s’est informée de ses goûts. La chanteuse écoute de tout : Beyoncé, Lizzo et Justin Timberlake tout autant que Lauryn Hill et Gregory Porter.
Les bagues apportées par la jeune femme ont autant de personnalité qu’elle! De quoi compléter à merveille cette première tenue.
La coiffeuse-maquilleuse Mayillah pense à tout : elle orne la chevelure de la chanteuse avec de jolies décorations de tresses.
Comment faire sécher plus rapidement du vernis à ongles? En mettant les mains au congélateur quelques minutes !
Pour obtenir une lumière d’apparence naturelle en studio en cette journée nuageuse, la photographe a plus d’un tour dans son sac. Son assistante Vanessa Brossard sort à l’extérieur et braque une lampe en direction de la fenêtre.
Pas d’escarpins pour la couverture de ce numéro. Le styliste a opté pour des bottes de type militaire qui sied bien au style de la chanteuse.
Une cravate rouge nouée en guise de ceinture vient pimenter un look qui aurait autrement pu être terne. Et le chignon ajoute de la hauteur. La beauté de Dominique Fils-Aimé éblouit, même si elle est vêtue d’un simple tricot.
Notre star du jour s’amuse ferme.
Ann Ross, directrice de production éditoriale de Châtelaine, s’assure que tout le monde se régalera après la séance photo avec ce lunch «COVID-proof». Chacun son bol !
Devant le moniteur où s’affiche la dernière photo, la rédactrice en chef, Johanne Lauzon, le codirecteur artistique par intérim, Michel C. Tremblay, et le styliste, Simon Venne, applaudissent. La séance est terminée! À l’arrière: l’assistante de Simon, Geneviève Allaire, une des fées qui a travaillé dans l’ombre pour faire de cette journée une réussite.
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Reporter depuis plus de 15 ans, elle s’intéresse aux phénomènes révélateurs de notre époque, qu’il s’agisse de la nouvelle révolution sexuelle menée par les Y, de la quête de silence ou du manque d’accès à la justice. Elle est auteure du livre L’affaire Turcotte – Les dessous de la saga judiciaire de la décennie, publié en 2016. Son travail a été récompensé par une quinzaine de prix de journalisme, au Québec et au Canada.