Comment vous sentez-vous à l’approche de cette dernière saison? Je vis beaucoup d’émotions contradictoires. Au cours des dernières années, je suis tombé profondément amoureux du Québec et de sa culture. Ce sera difficile de laisser tout cela derrière. En même temps, je suis extrêmement reconnaissant du travail que les musiciens, les techniciens et la communauté québécoise ont accompli ensemble.
Votre ultime programmation artistique comprend plus de 100 concerts. Quel est votre coup de cœur parmi cette impressionnante offre? Schubert est l’un de mes compositeurs favoris. Il a fait quelques apparitions parmi les œuvres que nous avons présentées au fil des années, mais nous n’avons jamais eu la chance d’explorer ses symphonies en profondeur. Ses morceaux les plus appréciés du public seront interprétés et combinés lors d’un grand festival au milieu de la saison, du 12 au 17 janvier. C’est à découvrir absolument!
Quel héritage espérez-vous laisser à l’OSM et à Montréal? Je suis très fier de faire partie de l’une des rares traditions symphoniques qui prouvent que la musique classique est pertinente au 21e siècle. C’est une joie immense de voir que notre public est aussi éclectique que le sont les rues de Montréal. Ensemble, nous avons réussi à abolir des frontières et à créer quelque chose d’unique. OSM.ca
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