Anna Karénine Le chef-d’œuvre de Tolstoï, paru en 1877, inspire les cinéastes. La 12e adaptation de cette histoire d’amour adultère campée dans la noblesse russe est cette fois réalisée par Joe Wright, un habitué des films d’époque (Expiation, Orgueil et préjugés). Après entre autres Greta Garbo et Sophie Marceau, c’est Keira Knightley qui incarne la belle Anna. Dans la peau du mari trompé, un Jude Law semi-chauve et barbu. La particularité : presque tout le film se déroule dans un théâtre. En salle le 30 novembre.
Le prénom Après la pièce, le film. La soirée s’annonçait routinière : frérot, sa femme enceinte et un ami de longue date viennent souper chez sœurette. C’est alors que Vincent (Patrick Bruel) annonce le prénom de son garçon à naître. Scandale. Hauts cris. Et voilà que tout dégénère, que les non-dits explosent, que la vérité blesse. Malgré tout, on rit. Beaucoup. Les auteurs du succès théâtral ont eux-mêmes réalisé le film, qui met aussi en vedette Charles Berling et Valérie Benguigui. En salle le 9 novembre.
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