Remarquée
Dans le film Tu dors Nicole, de Stéphane Lafleur (2014). « Avant même de finir le Conservatoire ! Un casting sauvage, on a cliqué. Ça m’a ouvert toutes les portes, j’ai tellement appris auprès de lui et de Julianne Côté [NDLR : Nicole, sa best du titre], de grands humains. » Son jeu lui a valu une nomination comme meilleure actrice de soutien aux prix Écrans canadiens de 2015.
Des premiers rôles
Mégane, la troublée de Sur-Vie (Séries+), mais surtout Simone, fille du trio derrière le bar de danseurs Cheval-Serpent (sur ICI Tou.tv Extra, et à ICI Radio-Canada Télé en janvier) : Élise Guilbault et Sophie Prégent (ses mères) et Guillaume Lemay-Thivierge (son géniteur très impliqué). « Forte et intéressante à défendre. »
À voir dans
Filles en liberté, de Catherine Léger, son premier rôle principal sur scène. Méli, « une fille avec de la gueule, intelligente, féministe », ambitionne de devenir mère au foyer. Il lui faut donc créer son emploi… un site de porno équitable ! Proches d’elle, des personnages qui se façonnent eux aussi la vie qu’ils désirent. « Le texte, grinçant, est du bonbon à jouer, et aborde des thèmes comme la surperformance, la peur de l’échec
et l’engagement politique. »
Du 7 novembre au 2 décembre, à La Licorne.
La troupe autochtone Dancers of Damelahamid présente une chorégraphie où se déploie l’imagerie des peuples côtiers de l’Ouest canadien. S’entrelacent habilement projections multimédias, costumes et masques, créant des ponts entre traditions et modernité.
Du 14 au 18 novembre, à la Cinquième Salle de la Place des Arts.
Distribution étoilée pour proposition décoiffante : une dizaine de personnages, un enterrement de vie de garçon, l’alcool qui délie (trop) les langues… Avec, entre autres, David Boutin, Dominique Quesnel, Marie-Pier Labrecque, Maxime Denommée et Maxim Gaudette.
Du 21 novembre au 16 décembre, au Théâtre Prospero.
Un spectacle de cirque qui conjugue danse, acrobaties, contorsions et poésie visuelle, porté par la talentueuse Valérie Doucet.
Compagnie Nord Nord Est, du 14 au 18 novembre, à la TOHU.
Cette expo hommage multidisciplinaire en préparation depuis deux ans s’an-nonce rien de moins qu’éblouissante. Un mince aperçu : une projection d’extraits de ses écrits sur le Silo no 5. Des reprises de chansons par Jean Leloup, Dear Criminals et Ariane Moffatt accompagnée de l’OSM. Une installation qui invite à s’immerger dans l’univers émotionnel du poète (la Depression Box, du réalisateur israélien Ari Folman). Une performance déambulatoire de Clara Furey (When Even The). Une expérience musicale en réalité virtuelle (Hallelujah)…
Du 9 novembre au 9 avril au Musée d’art contemporain de Montréal.
Il était le plus international des peintres canadiens, elle était la plus européenne des peintres américaines. Leur union, houleuse, a duré 25 ans. Pour la première fois, ils sont réunis au musée.
Jusqu’au 7 janvier au Musée national des beaux-arts du Québec.
Reconnu pour ses tableaux vivants filmés en plans fixes – parfois des reconstitutions de chefs-d’œuvre – l’artiste photographe et vidéaste Adad Hannah, qui partage son temps entre Montréal et Vancouver, sera à l’honneur avec cette rétrospective de son œuvre, qui comprend aussi des sculptures et des installations.
Jusqu’au 7 janvier au Musée d’art de Joliette.
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