Culture

Musique : Girl power

Céline, Alanis, Martha et Cat Power.


1. Parole de René Angélil : seule Céline peut lancer simultanément deux albums en autant de langues. Dans Sans attendre (5 novembre), Dion chante Plamondon, Ferland et Grand Corps Malade. À défaut de pouvoir « parler à son père » disparu, dixit le premier extrait, Céline dialogue outre-tombe avec Henri Salvador. Une semaine plus tard, Celine sans accent s’adresse à la planète tout entière grâce à Water and a Flame, disque sur lequel elle vocalise avec Stevie Wonder et Ne-Yo et offre des reprises de son spectacle à Las Vegas.

2. Dix-sept ans après Jagged Little Pill et ses 33 millions d’albums vendus (un record à l’époque pour une auteure-compositrice), Alanis Morissette persiste et signe Havoc and Bright Lights, inspiré du bonheur d’être maman et mariée avec l’homme de sa vie (Métropolis, 16 octobre).

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3. Le même jour, la trop peu connue Mont­réalaise Martha Wainwright, sœur de Rufus, présente Come Home to Mama. Il faut s’attendre à tout de celle qui s’est fait connaître en disant ses quatre vérités à son père dans Bloody Mother Fucking Asshole.

4. Autre chanteuse au cœur à vif, l’irrésistible Cat Power visite le Métropolis le 19 octobre, portée par son neuvième album studio tout chaud, Sun. Cat qui ? Imaginez Feist chantant sur de suaves sonorités électro. Découverte il y a six ans avec The Greatest, l’album de peine d’amour par excellence, cette artiste américaine douée a ensuite vécu des jours difficiles (séparation, dépression, pro­blèmes d’alcool), pour revivre avec des pièces ensoleillées et upbeat.

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