La comédienne Maude Laurendeau se croyait prête à relever tous les défis de la parentalité, mais le jour où sa fille reçoit un diagnostic de trouble du spectre de l’autisme, les difficultés se multiplient. S’engageant dans les méandres du système de santé et du réseau scolaire, elle devra naviguer entre les écueils.
Cette expérience est au cœur de sa pièce de théâtre documentaire Rose et la machine, qui soulève de brûlantes questions sur l’acceptation et la résignation à ne pas avoir l’enfant qu’on imaginait. « Quand j’ai réalisé à quel point les obstacles que je rencontrais s’inscrivaient dans le quotidien de nombreuses familles, j’ai ressenti l’urgence d’en parler. Le besoin de dénoncer s’est peu à peu transformé en une réflexion sur mes propres limites. J’ai compris que ma perception de la différence était un obstacle majeur au bonheur de ma famille », indique l’autrice. Elle jouera son propre rôle aux côtés de Julie Le Breton, qui incarnera tous les intervenants.
Rose et la machine. Au théâtre Jean-Duceppe, à Montréal, du 17 novembre au 5 décembre.
Cet article est paru dans notre numéro de novembre/décembre.
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