On connaissait Virginie Fortin, l’humoriste. Désormais, on adore aussi Virginie l’actrice, révélée dans la série Trop, à Radio-Canada, où elle joue une jeune bipolaire avec une fougue incroyable. C’est en 2013 que la carrière d’humoriste de Virginie Fortin a pris son envol, quand elle a remporté la première place du concours En route vers mon premier gala Juste pour rire. Depuis février dernier, elle présente son premier one-woman show, Du bruit dans le cosmos, partout au Québec. Une nouvelle étape dans un parcours professionnel déjà florissant.
Première étape: dompter la sauvage chevelure de Virginie! Le coiffeur Martin Alarie a su l’apprivoiser sans pour autant dénaturer son petit côté insoumis.
Les stylistes Mélanie Larivière (mode) et Catherine Perron (accessoires) avaient apporté des dizaines de vêtements, de souliers et d’accessoires. Il y avait du choix!
Chaque cliché pris par la photographe Andréanne Gauthier était automatiquement retransmis sur un moniteur, où toute l’équipe pouvait évaluer les changements et retouches à apporter pour obtenir la photo parfaite.
Un tricot à paillettes (Zara) à la fois très chic et ultraconfortable: le compromis parfait.
La séance photo avait lieu dans un appartement du quartier Mile-End, à Montréal, au troisième étage. Tout un défi pour l’équipe, qui a dû trimbaler tout le matériel dans les escaliers!
La maquilleuse Amélie Bruneau-Longpré était en admiration devant le teint de porcelaine de notre covergirl.
Virginie Fortin n’était pas certaine du magenta de cette robe au départ… mais elle a su au premier coup d’œil que la coupe lui irait à merveille. Et elle avait bien raison!
Petite retouche cheveux entre deux rafales de photos. Ça y est: on ne bouge plus!
La photographe Andréanne Gauthier a su donner de la profondeur à ses clichés, malgré l’espace restreint.
Martin Alarie n’est pas que coiffeur. Carton à la main, il agit aussi parfois comme ventilateur humain pour donner du mouvement à la chevelure de Virginie.
Des trois ravissants ensembles utilisés pour la séance photo, c’est finalement cette robe portefeuille magenta Icône, de chez Simons, qui a été retenue pour la couverture. La raison? Sa couleur vibrante qui fait «pop»!
Drôle et spontanée (les années passées à la LNI ont bien développé cet atout), Virginie a fait rigoler l’équipe toute la journée.
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Après des études en chant classique au Conservatoire de musique de Québec, Andréanne Moreau a complété son baccalauréat en journalisme à l'Université du Québec à Montréal (UQÀM) et est devenue journaliste dans les hebdos locaux de TC Média, sur l'île de Montréal. C'est là qu'elle s'est fait remarquer pour ses portraits et ses reportages près du style du magazine et a été recrutée par Châtelaine. Pendant trois ans, elle y a couvert l'actualité féministe mondiale dans la section Planète Femmes, la santé et l'activité physique. Elle a également réalisé quelques longs reportages, notamment au sujet de la grossophobie médicale, de la libido et de l'anatomie féminine. Andréanne met maintenant sa plume au service de l'Orchestre Métropolitain et de son chef d'orchestre Yannick Nézet-Séguin, pour qui elle est conseillère en communications et relations publiques.
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