Les cils d’Ingrid sont spectaculaires : le maquilleur et coiffeur Gérald Bélanger les a recourbés trois fois, puis enduits de quelques couches de mascara. Gérald connaît le beau visage de la comédienne sur le bout des doigts. Elle l’a l’invité à réaliser son maquillage pour les grands moments de sa vie : son mariage, les lancements de ses livres, les galas...
Attention, c’est chaud ! Le présentoir déborde de tricots de toutes sortes que la styliste Marianne Dubreuil va agencer avec des pièces en denim.
Couleur de brume bleutée, cette robe cache-cœur du créateur new-yorkais Jonathan Simkhai est enveloppante comme un peignoir. La styliste s’affaire à l’ajustement du drapé.
Jean + pull jacquard (on adore les petits moutons !) = un look après-ski qu’Ingrid pourrait porter après une journée passée sur les pentes.
Gérald Bélanger a choisi la fraîcheur des roses pour le maquillage d’Ingrid. En écho à la blondeur des cheveux, le jaune maïs du col roulé griffé Paloma Wool, jeune marque espagnole.
Comme un magasin de bonbons ! Le coin des bijoux fantaisie déborde de créoles dorées et argentées, de joncs en émail coloré et de bagues ouvragées.
Pause lunch pour Ingrid. La végétarienne refait le plein d’énergie pour terminer la prise de vues.
Il y a quelques années, elle a brisé le silence et pris la parole pour soutenir les femmes victimes de violence conjugale. Porteuse d’espoir, Ingrid discute avec l’équipe de Châtelaine : Johanne Lauzon, rédactrice en chef, Imelda Jeuris, directrice artistique, et Ann Ross, directrice de production éditoriale.
Une dernière retouche de Gérald Bélanger, maquilleur et coiffeur, sous l’œil concentré de la styliste Marianne Dubreuil. Et c’est parti pour la série de photos qui sera retenue pour la page couverture ! Avec son violet améthyste profond, le pull en cachemire de Club Monaco a ébloui l’équipe.
Un sourire qui en dit long : Ingrid a l‘air émerveillée. Elle est entourée de Kéven Poisson, assistant de la photographe Andréanne Gauthier (à ses côtés), d’Imelda Jeuris, directrice artistique de Châtelaine, et de Johanne Lauzon, rédactrice en chef.