Lecture : suggestions des libraires

 

Nous avons consulté Éric Gougeon, de la Librairie Imagine, à Laval ; Isabelle Gauvin, de la Librairie Archambault, à Montréal ; Dominique Caron, Christian Girard et Claire Taillon, de la Librairie Pantoute, à Québec.

Cliquez ici pour obtenir des suggestions de lecture ! function checkRadios(f){ var el = f.elements; for(var i = 0 ; i < el.length ; ++i) { if(el[i].type == "radio") { var radiogroup = el[el[i].name]; // get the whole set of radio buttons. var itemchecked = false; for(var j = 0 ; j < radiogroup.length ; ++j) { if(radiogroup[j].checked) { itemchecked = true; break; } } if(!itemchecked) { alert("SVP, veuillez effectuer votre choix."); if(el[i].focus) el[i].focus(); return false; } } } return true; }

 

 

Vous aimez :

	Anna Gavalda
	Fred Vargas
	Carlos Ruiz Zafón
	Michael Connelly
	Marc Levy et Guillaume Musso

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Vous aimez Anna Gavalda ?

  L’échappée belle, de Anna Gavalda (Le Dilettante).
Son nouveau roman, une plaquette de 164 pages qui reprend des thèmes certes déjà explorés, mais toujours rafraîchissants : le couple, les relations amoureuses, l’amitié. (Imagine)

  Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows (NiL).
Une romancière trouve le sujet de son prochain livre dans la correspondance d’une personne ayant appartenu au cercle littéraire de Guernesey durant la Deuxième Guerre mondiale. Délicieux et envoûtant. (Pantoute)

  La valse lente des tortues, de Katherine Pancol (Livre de Poche).
La prolifique écrivaine adore raconter des destins de femmes tourmentées qui luttent avec force et sincérité. Contemporain, léger, féminin et bien ficelé. (Archambault)

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Vous aimez les polars de Fred Vargas ?

  La trilogie Fabio Montale, de Jean-Claude Izzo (Folio Policier).
Dans un livre, on a réuni les trois romans de cette excellente trilogie marseillaise. Montale, flic désabusé, nous entraîne dans une aventure prenante qui se lit d’un trait. (Pantoute)

  Meurtriers sans visage, de Henning Mankell (Points Policiers).
La clairvoyance du commissaire Wallander fait penser à celle d’Adamsberg chez Vargas. Comme lui, Wallander se bute à des meurtriers diaboliques et intelligents. (Archambault)

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Vous aimez Carlos Ruiz Zafón ?

  Le jeu de l’ange, le dernier roman de Carlos Ruiz Zafón (Robert Laffont).
Comme son titre précédent, vendu à 10 millions d’exemplaires, ce récit nous transporte dans la Barcelone des années 1920 au cœur d’une histoire pleine de rebondissements et de mystères. (Pantoute)

  Le chœur des femmes, de l’écrivain-médecin Martin Winckler (P.O.L.).
Passionnant et généreux, l’ouvrage adopte le style trépidant des téléséries américaines comme Dr House pour raconter le quotidien d’un service de gynécologie et illustrer la condition féminine. (Imagine)

  Kafka sur le rivage, de Haruki Murakami (Belfond Étranger).
Il s’agit de la quête identitaire originale d’un jeune homme de 15 ans. C’est à la fois philosophique, poétique avec un soupçon de fantastique – à la sauce japonaise. (Archambault)

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Vous aimez Michael Connelly ?

  Un jour en mai, le dernier de George Pelecanos (Seuil Policiers). Pelecanos est un maître du roman noir. Ses intrigues révèlent le côté sombre des hommes, mais aussi leur côté lumineux. (Pantoute)

  Ne le dis à personne..., de Harlan Coben (Pocket).
Ses histoires contemporaines se déroulent dans un contexte typiquement nord-américain. L’écriture de Coben est différente de celle de Connelly, mais tout aussi efficace. (Archambault)

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Vous aimez Marc Levy et Guillaume Musso ?

  Maudit karma, de David Safier (Presses de la Cité).
Le récit cocasse et débridé d’une femme (trop) ambitieuse et (très) nombriliste qui meurt et se réincarne dans la peau… d’une fourmi ! En 2008, le magazine Cosmopolitan l’a classé dans le top 10 des livres les plus drôles. (Imagine)

  L’amour est à la lettre A, de Paola Calvetti (Presses de la Cité).
L’histoire d’amour charmante se passe dans un lieu fabuleux : la librairie Rêves & Sortilèges, consacrée à l’amour. On peut d’ailleurs visiter le site de ce commerce inventé. (Pantoute)

  Le sumo qui ne pouvait pas grossir, de Eric-Emmanuel Schmitt (Albin Michel).
L’écrivain français affectionne les paraboles et le thème de la spiritualité. Son écriture est facile d’accès, imagée, empreinte d’une grande simplicité et de sagesse. (Archambault)

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