Identifier. Avec des étiquettes, un code de couleurs ou des pochettes translucides.
Improviser. Des crochets sur le côté du bureau, un babillard à l’intérieur d’une armoire ou un bac sur roulettes sous un canapé pour les réserves de papeterie : voilà autant de façons d’optimiser le rangement.
Récupérer. Pas besoin d’accessoires de bureau neufs pour ordonner le fouillis. Bocaux de confiture, boîtier à maquillage transparent, contenants recyclés en classeurs pour les menus articles.
Classer. On regroupe pour mieux s’y retrouver. À portée de main, les choses qui servent plusieurs fois par jour. À proximité, ce qu’on utilise moins souvent mais régulièrement. Enfin, dans les boîtes décoratives et les rangements éloignés, ce qui sert rarement. Au quotidien, on évite l’encombrement de courrier avec un système de bacs ou de chemises « à classer » ou « à traiter ».
Alléger. On conserve souvent quantité de paperasse inutile et d’objets désuets. Avant de faire de nouvelles dépenses pour organiser le bureau, on fait le tri, on épure et on donne ce qui ne sert pas.
Inscrivez-vous aux infolettres de Châtelaine