Beauté

Atoca, bon pour notre beauté et pour la planète

Une jeune entreprise québécoise de produits de soins naturels s’impose comme un modèle zéro déchet.

On dirait des gâteaux mi-cuits et des morceaux de fudge. Et les ingrédients donnent l’eau à la bouche : clémentine, mangue, café, cacao… La raison sociale : Atoca. Une mignonne pâtisserie ? Non : on est dans l’univers d’une jeune entreprise montréalaise de produits de beauté naturels, soucieuse de la planète. Ce qui ressemble à des gâteaux, ce sont des shampooings et des revitalisants solides. Et le fudge est une barre de savon bourré d’huile de coco et d’avoine. Pourquoi donc le choix du nom Atoca ? « La canneberge représente bien notre patrimoine. Elle est riche en antioxydants et en actifs formidables pour les cosmétiques », explique la fondatrice, Marie-Christine Plouffe, 25 ans. D’origine gatinoise, la bachelière en droit a fait du zéro déchet son cheval de bataille. « Chaque fois que j’achète un produit, ça me saute aux yeux à quel point il y a du plastique partout ! » s’exclame-t-elle.

Chez Atoca, on insiste sur les matériaux compostables, réutilisables, sur leur capacité à conserver le produit et à en assurer la stabilité. Le déodorant et les baumes à lèvres sont conditionnés dans du carton, et les nettoyants offerts dans des sacs en toile.

La production est faite à la main dans un laboratoire du quartier Villeray, à Montréal. Atoca mise aussi sur le concept des boîtes d’abonnement, qui facilitent la vie de la clientèle. Des nouveautés pour le printemps ? « Nous prévoyons un masque pour le visage, un super démaquillant et davantage de canneberges dans nos formules », révèle Marie-Christine.

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