Je n’ai jamais teint mes cheveux. Je suis blonde naturelle et je connais au moins une dizaine de personnes qui voudrait me faire violence si j’arrivais au bureau demain avec une tignasse brun chocolat. Malgré tout, j’ai toujours envié les femmes qui pouvaient être rousse une saison et être châtaine la prochaine.
Mon envie irrépressible de changer de tête est en tout point la cause de ma dernière obsession capillaire: le Color.Bug de Kevin Murphy. Ces pastilles qui colorent temporairement les cheveux (un shampoing et c’est parti !) rappellent étrangement le fini d’une ombre à paupières. Offert dans des couleurs ultra flashy (rose, mauve et orange), le produit permet une transformation légère ou radicale à celles qui, comme moi, ont peur de s’engager.
L’applicationSimple, vous dites ? Avec une serviette sur les épaules (le produit est légèrement salissant), on travaille sur des cheveux secs et coiffés. On applique ensuite du fixatif ou de la pommade là où on veut y appliquer le Color.Bug afin de maximiser l’adhérence de la couleur. Si on veut changer de tête en douceur, on colore une mèche ou le bout des pointes. Si on se sent plus courageuse, on y va pour la totalité de la chevelure ! On frotte ensuite vigoureusement la pastille colorée contre les cheveux jusqu’à ce que la transformation opère. Pour enlever l’excédent de produit, on masse les cheveux entre les doigts. Finalement, on peaufine le look en peignant nos cheveux à la brosse ronde afin d’homogénéiser la couleur.
C’est décidé. Cet été, je passe au orange.
Color.Bug de Kevin Murphy, environ 20 $. Offert dans certains salons de coiffure.
Inscrivez-vous aux infolettres de Châtelaine
ABONNEZ-VOUS À CHÂTELAINE
Joignez-vous à notre communauté pour célébrer la riche histoire du magazine Châtelaine, qui souligne ses 65 ans en 2025. Au programme : de nouvelles chroniques, une couverture culturelle élargie, des reportages passionnants et des hommages touchants aux femmes inspirantes qui ont eu une influence positive et durable sur notre société.