Générale

Bïa bis

Jeudi dernier, je suis allée l’entendre dans une salle que j’aime beaucoup, au Studio théâtre de la PDA. De plus en plus, je choisis les salles autant que les spectacles. Fred Pellerin à DeMaisonneuve? Je ne pourrais pas (par contre René Richard Cyr m’a dit que Fred faisait lever la salle même là…d’autres n’y sont pas toujours arrivés, même avec d’hénaurmes moyens!).  Lorsque j’ai appris que Bïa chantait dans l’intimité, j’ai sauté sur l’occasion de la revoir une troisième fois sur scène. Je suis arrivée là en pestant contre les travaux autour de la PDA et repartie en fredonnant. Bïa a chassé toutes mes contrariétés.

Son pote le guitariste Yves Desrosiers l’accompagne; on dirait qu’ils jouent pour les amis. Et pour nous, Bïa fait revivre certaines chansons connues, Brassens en portugais, Henri Salvador et son jardin d’hiver encore en portugais. Elle sera là ce soir, et le 25 février. Et après, en tournée dans tout le Québec jusqu’en mai.

Ne me reste plus qu’à lire son récit, Les révolutions de Marina, paru cet automne au Boréal. La fée de la beauté s’est penchée sur son berceau, celle de la sensibilité et de l’art aussi.

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