J’ai passé la fin de semaine avec des chasseurs pour qui le camouflage n’a plus de secret. J’ai humé du sperme de buck norvégien en rut et j’ai songé à la fin du monde. J’ai admiré les petits flacons d’urine de femelle orignal (on l’appelle la « vache ») et ceux qui servent à faire disparaître l’odeur humaine, mélange de terre et de sapinage en pouiche-pouiche.
Et puis, je tombe sur ce diaporama de camouflage urbain… Comme quoi, l’humain s’adapte toujours à son environnement…