On peut penser ce qu’on veut du suremballage, même y voir des qualités (quoique pas très convaincue, je reste, devant mes bananes bio emballées dans le styromousse et une solide pellicule de plastique à l’épicerie).
Mais cette vidéo d’une mère révoltée, avec les trémolos d’indignation dans la voix, et le gamin qui ne pige rien sur les genoux de sa génitrice indignée par un produit suremballé, mérite le détour. Le petit vient d’assister à son premier cours de consommation 101. Et la bataille ne fait que commencer.
Je me dis que lorsque les consommateurs seront assez révoltés, l’industrie devra changer. On vote avec son portefeuille, pas autrement.