Le titre n’est pas de moi, c’est Yves Boisvert qui m’a fait pouffer de rire avec ça ce matin. Et puis Lagacé en a rajouté une couche.
J’aime lorsque nos chroniqueurs masculins parlent d’amour même s’ils ne réfèrent jamais à eux-mêmes. On sent qu’ils ont du vécu derrière la costarde.
La prochaine fois qu’il y a bisbille chez les motards -qui ne sont pas des enfants de choeur mais qui viennent de prouver qu’ils en ont un (peut-être pas à la bonne place, mais bon, ne chipotons pas)- ce n’est pas Claude Poirier qu’il faudra appeler mais Louise Deschâtelets. Ou Joblo, à la rigueur.