Lorsque mon mari moins tout neuf m’a demandé un cours de massothérapie comme cadeau de Noël, je n’ai pas hésité une seconde. Une folle dans une poche! Je serais son cobaye, offerte et huileuse à ses paumes puissantes de boulanger dévoué (il pétrissait son pain dans une autre vie).
Mais il fallait passer par l’étape des cours, sortir de sa zone de confort pour que je puisse entrer dans la mienne un jour.
Ce qui fut fait. Contre toute attente, ces cours attirent surtout des jeunes et autant d’hommes que de femmes. Le prof enseigne le yoga et est un adepte du combat libre, comme Georges Saint-Pierre. Baraqué, musclé, tout sauf moumoune. Le massage le repose…
Même si en principe, chaque étudiant doit changer de « corps » durant les cours pour expérimenter diverses situations, mon mari s’est retrouvé chaque fois avec le même « biker » comme cobaye: poilu, bâti, tatoué et imposant. Une chance que mon homme tripait motos de course dans une autre vie; il n’a pas froid aux yeux.
Mais lorsque mon mari moins neuf m’a parlé des bobettes du cobaye (eh oui, ils en portent, ils ne vont pas tous « commando« ), j’ai pouffé de rire. « Pas vrai! » … »Je te le jure sur le hood de mon char! »
Les voici…
Parfois, c’est le détail qui tue, parfois, au contraire, c’est le détail qui nous distingue.
Je commande tout de suite l’item pour ajouter au bas de Noël 2011…